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Cancer du Pancréas

Cancer du Pancréas
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15 avril 2009

Hérvé , 47 ans ....

Bonjour, je m'appelle Hervé, j'ai 47 ans, une épouse et trois enfants.

Je suis atteint d'un cancer de la tête du pancréas avec nodules hépatique droit et chaînes ganglionnaires sous claviculaires droit et de volumineuses adénopathies de la loge de Baréty médiastino bilaires.

Je voudrais faire partager mon parcours au sein de ce combat et vous dire que si vous souffrez de douleurs abdominales intenses et insupportables, il faut demander immédiatement une prise de sang et un scanner. Il ne faut pas faire la même erreur que moi et agir au plus vite.

La maladie a commencé au mois de février 2008 avec de violentes douleurs au ventre.

Après une consultation chez mon médecin généraliste, celui-ci me dit que mes douleurs sont dues au stress (ce qui m'a étonné car je n'ai aucun problème grave, ni dans ma famille, ni dans mon travail).

Il m’a alors donné une prescription médicale : antispasmodique et antalgique.

J'ai vécu une petite période sans douleur puis de nouveau les mêmes symptômes sont revenus et nouvelle consultation du medecin généraliste et même réponse de ce dernier. Je patiente encore avec quelques crises espacées et à ma demande une échographie est prescrite. Le rendez-vous est pris pour le 18 juin 2008.

Pendant ce temps, la maladie s'installe insidieusement....

J'obtiens le résultat de l'échographie abdominale: découverte d'une hépato-mégalie avec suspicion de nodules sous capsulaire antérieur droit.

Les repères du pancréas sont en place et le pancréas est mal analysable (gaz). Après un entretien avec le radiologue, celui-ci me dit qu'il ne voit rien de pressant et que cela lui fait penser à des kystes et que mes douleurs n'ont aucun rapport avec les "soi-disant kystes".

Il me dit que le scanner prévu pour compléter le bilan, peut attendre.

Heureusement « une personne importante à mes yeux » veille déjà sur moi ! Un déclic, un appel, je ne sais pas !

Vous découvrirai au fur et à mesure de mon parcours à qui je fais référence.

Au mois de mars, j'effectue un régime draconien: arrêt de boissons alcoolisées, plus de charcuterie et de graisse avec légumes et fruits à volonté, thé vert sans savoir que je suis atteint d'un cancer.

Le 5 juillet, j'ai une crise insupportable et après mon travail, je me rends aux urgences. Après examen, on me fait comprendre que j'exagère les douleurs.

Les conclusions sont : taux d'amylase et lipase sont augmentés mais non significatifs donc pas d'éléments de gravité mis en évidence, pas d'indication d'hospitalisation ou bilan complémentaire en urgence.

J'ai une poursuite du traitement symptomatique.

Le 15 juillet consultation avec mon généraliste, face à mes douleurs et à ma demande j'obtiens un rendez-vous avec un gastro-entérologue.

Les résultats : il existe une masse de 5cm au niveau de la tête du pancréas calcifié en partie, le wirsung est dilaté en amont, de même la vésicule biliaire est de grande taille( vésicule aubergine), confirmation tissulaire du foie droit.

Après le scanner, je prends «  un coup sur la tête » car les conclusions du scanner du 23 Juillet sont les suivantes:

- Lésion céphalique pancréatique su pancréatite chronique avec calcifications, dilatation, du canal de Wirsung, cet aspect s'étendant sur 5 cm x 5 cm x 5 cm.

- Une lésion primitive associée est évoquée compte tenu du caractère très hétérogène de la tête du pancrés et de la présence de deux nodules solides intra hépatiques évoquant des localisations secondaires.

- Perte des liserés graisseux en regard du 2ème et 3 ème duodénum et en avant de la veine cave inférieure.

- Respect de la veine mésentérique et de la veine splénique.

L’avis spécialisé est indispensable.

Deuxième douche froide mais petit espoir du radiologue: il pense que c'est opérable.

Ma femme retrouve le moral, moi je continue de l'avoir.

Le 25 juillet, retour chez le gastro-entérologue pour le compte rendu du scanner.

A la lecture des conclusions, il y a eu un silence pesant. J'ai donc dit: " alors, c'est un cancer".

Il répondit "oui".

Là, je dois l'avouer, le ciel me tomba sur la tête. J'ai pensé à mes enfants et à mon épouse mais à aucun moment je n'ai eu peur. Une force est là avec moi.

Heureusement car la psychologie de ce médecin est nulle. Je lui ai demandé ce que l'on pouvait faire et combien de temps il me restait ? Il y eu un long moment de silence et en me regardant bêtement il m'a fait comprendre que j'en n'avais pas pour très longtemps et proposa un rendez-vous chez un oncologue pour de la chimio.

Je lui est demandé d'avoir un autre avis dans un grand hôpital. Il me répondit que cela n'était pas utile car je ne pourrai pas me procurer de rendez-vous me faisant comprendre qu’il était déjà trop tard.

La semaine suivante, j’en obtient un pour mon plus grand bonheur. Le courant est très bien passé avec celui-ci. Ce médecin sympathique m'a prescrit un tep scan et je lui est expliqué mes rapports avec l'autre médecin sans le dénigrer. Il me conseilla également l'avis d'un autre spécialiste. Dès mon retour chez moi, j'ai téléphoné à un grand chirurgien.

Rendez vous le 7 août avec le chirurgien, un homme très sympathique qui m’inspire immédiatement confiance (Son prénom  Emmanuel-Dieu est avec nous). Après une longue discussion et analyse de mes documents scanner, tep scan, il me dit que pour l’instant je ne suis pas opérable.

Une biopsie est prévue le 18 août pour déterminer de quelle tumeur il s’agit.

Le 20 septembre, après un mois d’attente et de réponses un peu floues sur la longueur des résultats et de la biopsie il m’arrive le résultat et les conclusions par téléphone :

Localisation hépatique d’un carcinome peut différencié tumeurs neuro endocrines.

Une réunion protocolaire va avoir lieu pour décider de la chimio à suivre. C’est ainsi que le 23 septembre, j’ai rendez-vous avec un professeur spécialiste en oncologie. Il me fait part de son désarroi quand à la longueur des résultats. Entre la découverte de la tumeur et ce rendez-vous il s’est passé énormément de temps et finalement il m’apprend que je suis atteint d’un adeno carcinome et qu’il faut mettre en place une chimiothérapie au plus vite.

A travers son regard, je sens ma femme effondrée car ce qui était au début la moins grave des tumeurs se révèle être la pire et la plus douloureuse. Ma « chimio » débutera le 17 octobre en commun accord avec le chirurgien.

Nous redescendons au secrétariat pour des formalités administratives et alors que nous allions repartir, le professeur nous rattrape furieux, il paraît désolé et doit nous voir d’urgence.

Résultat : Ce n’est plus un adeno carcinome mais une tumeur neuro endocrine ce qui change tout du protocole à suivre pour guérir, le traitement étant moins lourd pour une tumeur neuro endocrine.

Une nouvelle chimio est mis en place : 3 jours de traitement/ semaine toute les 3 semaines avec un contrôle tout les deux mois.

Le 17 octobre, ma première chimio est plutôt dure à vivre mais ma femme m’accompagne ce qui me rassure tout de même.

Jusqu’au mois de novembre, les chimios se passent sans problèmes mis à part quelques maux de ventres et la perte de mes cheveux que ma famille prend bien. Je décide de me raser la tête et il faut dire que cela me va plutôt bien, ayant déjà porté «  la boule à zéro » étant jeune cela ne me pose pas de problème. A ma fille non plus, je la revois encore me dire «  Papa, qu’est ce que tu es beau ! ». C’est fou à quel point cela peut être une source de motivation et d’encouragement d’entendre ça de la part de son enfant. Cela m’a donné la force de me battre.

Le 5 novembre, nouvelle chimio qui se passe bien et les analyses sanguines sont plutôt bonnes.

Le 12 décembre, un 1er contrôle est organisé alors qu’une sérieuse crise de maux de ventre le précède et m’inquiète un peu.

Le jour-J, je rencontre le radiologue qui est un type très sympathique et qui me met en confiance. L’attente après le scanner me semble une éternité et lorsque je le vois revenir j’ai peur de ce qu’il va pouvoir m’annoncer. Il me prend à part , les cœurs de ma femme et moi battent à leur maximum.

Résultat : Réduction des nodules au niveau des poumons à hauteur de 80% et au niveau du foie de 50%. Le pancréas n’a quand à lui pas bougé.

A ce moment là, énormément de choses me passent par la tête mais la joie l’emporte. J’aurai voulu embrasser la terre entière si je l’avais pu. C’est un très beau cadeau de noël que la vie fait à ma famille et moi. On pense tous alors aux malades qui n’ont pas la même chance.

Avant de rentrer chez nous, nous nous arrêtons devant une petite grotte où la présence de marie m’interpelle. Nous prions en ce moment de fête.

Le second contrôle est prévu le 24 février de l’année 2009.

Résultat : Les nodules à l’étage thoracique ont disparus et les nodules au niveau du foie ont encore un peu régressé.

Les chimiothérapies du mois de mars se passent un peu moins bien que d’habitude avec quelques nausées et des fourmillements au niveau des pieds.

Je prends quelques complémentaires alimentaires à côté et je vais bientôt entamer un régime du Dr Beliveau.

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15 avril 2009

Mon parcours de cette maladie avec la foi

La personne dont je vous parle depuis le début de ma maladie est Dieu.

Je souhaite et conseille à chaque personne qui traverse une épreuve difficile dans la vie de se rapprocher de Dieu. Je remercie Marie, les Saints, les Apôtres et les Anges de m’avoir donné la foi. Cette foi me permet de prier pour les autres et pour moi-même également.

Mais je vous conseille de ne pas perdre la foi dans cette épreuve car c’est grâce à elle si j’ai surmonté cette épreuve et reçu de bonnes nouvelles. Le soutien de la famille et des amis est très important aussi.

Peut être est-ce la foi qui m’a permit de surmonter ce régime strict au début de la maladie malgré quelques très fortes douleurs insupportable, j’ai toujours eu la pêche et gardé le moral.

Au mois d’août, j’avais une envie incompréhensible d’aller à la messe, à me rendre dans les églises et à beaucoup prier pour les autres et moi-même. Cela m’a permis de connaitre l’évangile et celui-ci est devenu mon livre favori. J’ai un grand besoin d’écouter des musiques et des textes religieux et de parler avec Dieu. Quelle divine personne ! Toujours beaucoup d’amour et de tendresse à donner et à chaque fois il est là pour me relever, m’épauler, m’aimer comme un père n’a jamais aimé. Mon chemin a vraiment changé, je m’aperçois que je n’étais qu’un égoïste envers ma famille, mes amis et tous les gens autours de moi et j’oubliais alors combien de personne attendant un petit geste venant de ma part pour les rendre heureux.

Au mois de septembre, en attendant mon épouse qui faisait les courses je me baladais et je rentrai dans une église et là je fis la rencontre avec un groupe de prière : St Rita avec lequel je sympathise et depuis je me rends chaque jeudi pour prier  pour toutes les intentions de prières avec Marie, St Rita et St Thérèse. Je pense qu’il est très important de prier Marie la mère de Jésus et la notre et de rencontrer sur notre route un Saint ou une Sainte qui intercède pour nous auprès du père. J’ai trois saintes qui sont très importante pour moi dans mes prières.

Ma petite Thérèse, je l’a considère comme ma petite sœur. Mes deux livres de chevet lors de mon hospitalisation pour ma biopsie était « Ste Rita »  et « neuf jours de méditation avec la Sainte de la confiance Thérèse ». J’ai bien compris que la confiance était la clé de bien des réussites dans la vie.

Le 15 novembre nous sommes allés  à Lisieux pour un week-end avec mon épouse et ma fille. Un week-end inoubliable  pour nous et pour moi en particulier car c’est dans la chapelle de la petite Thérèse que j’ai reçu l’onction des malades.

Beaucoup d’émotions, de sensations et de joie à la fois. Nous visitons Lisieux où il y a beaucoup d’endroits charmants, aussi beaux les uns que les autres. La cathédrale, la crypte, le carmel et la maison de la petit Thérèse où des sensations fortes sont présentes. Nous regagnons le foyer tenu par des petites sœurs Thérésienne qui sont d’une gentillesse inouïe. Nous faisons connaissance avec de nombreuses personnes et à chaque fin de repas de nombreux chants nous rendent heureux. Je me suis lié d’amitié avec un prêtre de 84 ans qui a eu lui aussi un cancer et cela fait de nombreuses années que Thérèse veille sur lui, il joue de l’harmonica dans des restaurants avec un autre prêtre violoniste. Je corresponds aussi avec le père qui m’a donné l’onction des malades.

Au cours de tous ces mois qui passent je me rends tous les dimanches à l’église. Pendant ma chimio quand celle-ci ce passe bien, je me rends dans diverses églises à Lille et ensuite je rentre chez mon fils, j’ai la chance que celui-ci fasse des études à Lille cette année, nous lui avons loué un petit studio. Et c’est un grand confort de parler avec lui, qu’il soit là et que je puisse également partager beaucoup de choses avec lui et je me suis lié d’amitié avec tous les commerçants du quartier. Sinon nous habitons à 180 kilomètres de Lille. De retour chez moi, j’entretiens une étroite relation avec des gens que j’ai connu dans les églises qui m’apportent beaucoup et nous nous rendons des services mutuellement. Ma famille et mes amis sont toujours là c’est très important pour moi.

Malgré les difficultés, les obstacles et les peines il faut essayer de trouver un chemin dans la foi. Cela vous changea totalement.

Bon courage à tous avec des nouvelles de ma part bientôt.

Prions universellement les uns pour les autres.

21 septembre 2008

Que montre L'examen

L'examen clinique montre dans ce cas :

  • La présence d'un ictère. Le foie est souvent agrandi et le médecin palpe une vésicule augmentée de volume. Dans près de la moitié des cas elle respecte la loi de Courvoisier.

Les examens complémentaires montrent :
Une hyperbilirubinémie conjuguée (élévation du taux de bilirubine conjuguée dans le sang).
Une augmentation des phosphatases alcalines.
Une glycémie qui est généralement augmentée.
Une épreuve d'hyperglycémie provoquée anormale.
Une amylasémie (taux d'amylase dans le sang) augmentée.
Une lipasémie (taux de lipase dans le sang) est quelquefois augmentée également La présence de sang dans les selles parfois.
Une augmentation de l'antigène carcinoembryonnaire (CEA) mais non spécifique.
Une augmentation du CA 19-9 qui est une protéine sécrétée par la tumeur. Les chiffres normaux sont : < 37 unités par ml pour le CA 19 9 et < 23 unités par ml pour le CA 50. Ces antigènes sont élevés dans d'autres tumeurs du tube digestif.

L'échographie et la tomodensitométrie ainsi que l'angiopancréatographie rétrograde (mise en évidence grâce à la radiographie du pancréas après opacification) par voie endoscopique (en utilisant le tube souple muni d'un appareil optique permettant de visualiser l'intérieur de l'intestin) confirment le diagnostic et précisent le lieu de la tumeur.
Un autre examen : l'échoendoscopie est utilisé en présence de petite tumeur du pancréas. Il permet d'autre part de se faire une idée de l'extension de la maladie et tout particulièrement s'il existe des ganglions ou des vaisseaux également atteints.
La tomodensitométrie à balayage spiralé est un examen de choix, la colangiopancréatographie par résonance magnétique également.

Si vous ne comprenez pas certaine chose ou mot laissez un commentaire. Nous essayerons d'y repondre au mieu que nous le pouvons.

Repris du site : http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie.html .

21 septembre 2008

Les causes...

Le cancer du pancréas atteint surtout l'homme après la cinquantaine. Les causes seraient :

  • La consommation de tabac.
  • La pancréatite.
  • Un régime riche en graisses et en protéines animales.
  • Les nitrates utilisés pour conserver les viandes sont à l'origine de la formation de nitrosamine dans le tube digestif.
  • La benzidine.
  • Les androgènes.
  • La Béta-naphtylamine.
  • Le café (rôle controversé).
  • Les antécédents de lithiase biliaire (rôle controversé).
  • Le diabète (rôle controversé).

Les symptômes sont les suivants.
1) En ce qui concerne le cancer de la tête du pancréas :

  • Douleurs épigastriques (survenant au niveau de l'estomac) apparaissant tardivement. Elles sont quelquefois associées à des irradiations (déplacement, rayonnement de la douleur) vers le dos du patient prises au début pour des douleurs d'origine vertébrale (rhumatisme).
  • Prurit (démangeaisons) due à une cholestase (diminution voire absence d'écoulement de la bile dans les canaux biliaires).
  • Altération de l'état général.
  • Hyperthermie (élévation de la température).
  • Anorexie (manque d'appétit).
  • Vomissements.
  • Diarrhée.
  • Constipation (inconstante).
  • Hémorragie digestive (inconstante).
  • Asthénie (fatigue importante).
  • Amaigrissement important.
  • Déséquilibre inexpliqué du diabète.

Si vous ne comprenez pas certaine chose ou mot laissez un commentaire. Nous essayerons d'y repondre au mieu que nous le pouvons.

Repris du site : http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie.html .

20 septembre 2008

Définitions

   

Définition

Le pancréas est une glande digestive liée au duodénum, relativement mobile et orientée vers la gauche. Cette glande est à la fois exocrine (fabrication d'hormones en dehors du sang, dont l'émission se fait dans le tube digestif comme l'amylase, la lipase, la trypsinogène, la chymotrypsinogène), et endocrine (sécrétion d'hormones dans le sang : insuline, glucagon et somatostatine).

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Le cancer du pancréas est une tumeur maligne, le plus souvent un adénocarcinome c'est-à-dire un cancer du tissu glandulaire, se développant à partir du tissu glandulaire qui sécrète les enzymes digestives c'est-à-dire le pancréas exocrine. Ce type de pathologie du pancréas peut toucher les sujets jeunes mais atteints essentiellement les individus après soixante ans. Le rapport homme femme est de 1,5 pour 1.

65 % des tumeurs du pancréas exocrine sont situées dans la tête du pancréas, 15 à 20 % dans le corps et 5 % dans la queue. Quelquefois il s'agit d'un cancer se développant aux dépens du pancréas endocrine c'est-à-dire du tissu glandulaire qui sécrète l'insuline, hormone permettant de diminuer le taux de sucre dans le sang. On parle alors d'Insulinome. La tumeur est susceptible d'envahir les organes voisins et les métastases se font alors dans le foie, la rate, péritoine entre autres.

Si vous ne comprenez pas certaine chose ou mot laissez un commentaire. Nous essayerons d'y repondre au mieu que nous le pouvons.

Repris du site : http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie.html .

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